- "ex-scolarisés" : oui, d'accord, mais bon, comme tout le monde. C'est creux comme info.
- "martyre" : ah ah ah. Trop marrant, vraiment. Que ce soit le martyre des élèves qui apprennent dans la douleur ou le martyre du prof qui fait un boulot pourri, aucun de ces clichés ne m'apaise.
- "vacances" : ça, ok, c'est un vrai de vrai avantage. C'est une référence classique et souvent utilisée de façon bien trop synthétique, mais admettons, puisqu'il s'agit de bien rigoler, avec ce... livre.
Je ne sais pas trop comment comprendre ce dessin. J'ai même sondé l'opinion de la famille, mais je n'ai eu que des réactions vagues et dubitatives : on pourrait penser que le prof s'est collé la réponse dans le dos pour aider ses élèves, qui sont contents et attendris ; je suppose cependant que c'est l'un d'eux qui a épinglé le papier dans le dos de son professeur, mais bon, jusque là mes zygomatiques ressent calmes... En plus, quel exemple l'auteur a-t-elle choisi pour représenter l'enseignement du prof de maths ? Les identités remarquables... Le truc accessoire et sans grand intérêt : des formules à apprendre, alors que dans les maths, le plus palpitant est la réflexion !
Mais le meilleur arrive :
Bon bon bon. Madame Dupraz a manifestement subi sa scolarité de façon aussi hilarante que mal vécue. Ce qui est fort, c'est que le bouquin date de 1994. En 1994, cela faisait un bout de temps qu'on parlait peu de trains qui se croisent et de robinets. Le pire, c'est la façon dont elle prend son prof pour un parfait idiot, et dont elle généralise son exemple-expérience pour définir LE prof de maths.
Dis, copine, tu m'envoies des définitions de profs des autres disciplines ? Histoire de voir si le hic c'est les maths ou c'est le concept du prof...
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