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lundi 29 février 2016

Le rallye maths'n Caux : ça etoqui grave !


Annyi, nous avons travaillé sur la troisième manche du rallye Maths'n Caux, avec mes syisyime Comme les précédentes, ça m'a toute rémouquaée, et mes écalots progressent de façon dé remerque sur la logistique : les deux touines qui coordonnent sont à fait au point, les autres s'organisent en groupe et se jettent dans la taque à touote brélingue, mais surtout, c'est un travail bien plus collectif. Devaunt les coordinatrices étaient reide sur le dos de leurs camarades et les débâochi. Achteu, elles savent exactement quelle posture adopter. Elles sont de seûr efficaces. Dans les groupes, ça discute dur avec les veisins : des élèves qui vatibouesi au départ sont tréjous à fond que les autres, et les débats que j'ai pu suivre dans chaque ilot étaient de qualité. Les touins ne cherchent plus à défendre leur point de vue, voire à l'imposer, mais ils veulent trouver la bonne solution. Une solution de biscouen ne gaguillounaere plus, elle est source de discussion. Bon par contre, ça fait du tabeut...

Cette troisième manche était intéressante oussin car elle était plus difficile pour mes élèves. Aucune devinâle (ils en traitent cinq et en retiennent treis de leur choix pour rédiger leur feuille réponse) n'a fait consensus. Il a donc fallu réserver du temps en fin d'heure pour discutailli Et là, c'était extra : j'ai entendu des élèves expliquer leur solution, comment ils avaient procédé, et d'autres leur expliquer pourquoi ils se trompaient, et chercher à vraiment leur faire comprendre pourquoi leur réponse, selon eux, était juste. Ils ont abienné comme des chefs.

Ils ont grandi, ces loulous ! Et participer à un tel concours sur plusieurs manches développe vraiment des capacités précieuses pour leur vie quotidienne. Et mon cauchois.




Aujourd'hui, nous avons travaillé sur la troisième manche du rallye Maths'n Caux, avec mes sixièmes. Comme les précédentes, c'était un très bon moment, et mes élèves progressent de façon remarquable sur la logistique : les deux élèves qui coordonnent sont au point juste comme il faut, les autres s'organisent en groupe et se jettent dans la tâche, mais surtout, c'est un travail bien plus collectif. La première fois, les coordinatrices étaient trop sur le dos de leurs camarades et leur mettaient la pression. Maintenant, elles savent exactement quelle posture adopter. Elles sont vraiment efficaces. Dans les groupes, ça discute dur : des élèves peu investis au départ sont aussi à fond que les autres, et les débats que j'ai pu suivre dans chaque ilot étaient de qualité. Les élèves ne cherchent plus à défendre leur point de vue, voire à l'imposer, mais ils veulent trouver la bonne solution. Une solution divergente n'est plus dérangeante ou vexante, elle est source de discussion. Bon par contre, ça fait du bruit...
Cette troisième manche était intéressante aussi car elle était plus difficile pour mes élèves. Aucun exercice (ils en traitent cinq et en retiennent trois de leur choix pour rédiger leur feuille réponse) n'a fait consensus. Il a donc fallu réserver du temps en fin d'heure pour débattre; Et là, c'était extra : j'ai entendu des élèves expliquer leur solution, comment ils avaient procédé, et d'autres leur expliquer pourquoi ils se trompaient, et chercher à vraiment leur faire comprendre pourquoi leur réponse, selon eux, était juste. Ils sont allés au bout du boulot.

Ils ont grandi, ces loulous ! Et participer à un tel concours sur plusieurs manches développe vraiment des capacités précieuses pour leur vie quotidienne.

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