Il est 20 heures au moment où j'écris cet article. Plus que quatre heures et une seconde avant d'en finir avec 2016. Pour ma part, 2016 a été une belle et douce année, et puis elle avait de belles propriétés, mais forcément pas l'élégance naturelle et silencieuse d'un nombre premier... 2016 se termine avec cette seconde intercalaire, certes pas non plus une rareté, mais c'est rigolo. Mais voilà, 2017, c'est plus joli, pis c'est tout. Alors, chère année 2017, il va falloir être à la hauteur de cette primalité, et être encore plus belle et encore plus douce que 2016. Je m'y attèle de ce pas : on ne peut pas réussir une année sans y contribuer activement soi-même.
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