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mercredi 26 octobre 2016

Dans le métro à Paris

Lors des journées du CRAP, j'ai eu l'occasion de prendre le métro. Même si je préfère flâner nez en l'air à la surface, il m'a bien fallu m'enterrer un peu.
Même dans le métro, j'ai eu de quoi me mettre sous ma dent de prof de maths.

D'abord, une citation de Ben :


N'importe quoi... Monsieur Ben, je trouve que vous écrivez des bêtises. D'abord, la vérité n'est pas forcément belle. Ensuite, en communiquant ce que vous communiquez, vous passez cette pseudo-vérité par le filtre de votre subjectivité. Et enfin, le fait que 1 + 1 = 2, ce n'est pas une vérité, c'est une convention.

Ensuite, voilà-t-y pas qu'Oscar Wilde s'en mêle et joue son gars-de-base-qui-a-un-truc-à-dire-sur-l'éducation.

D'aaaaccord. Alors déjà je ne suis pas sûre, même si je ne trouve pas d'exemples pour étayer mon propos, là tout de suite, et ensuite on pourrait discuter sur l'assimilation éducation-enseignement. C'est faible, comme propos, je trouve. Ca m'a agacée. Et ne me sortez pas l'amour : aimer, ça s'enseigne, par l'exemple, dès tout petit petit.
Cela dit, en farfouillant sur Oscar Wilde, j'ai trouvé une "peut-être citation" que je trouve tout à fait admirable : à l'agonie, Oscar Wilde aurait dit "Soit ce papier peint disparaît, soit c'est moi". Alors là, chapeau bas, cela ne manque pas de panache.

Demain, je vous raconterai les chaussettes spécial matheux.

C'est l'aventure, quand je vais à Paris...

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